CONSULAT DE FRANCE à Leipzig Allemagne 1896
VOIR DESCRIPTION ET HISTORIQUE CI APRES
DESCRIPTION
ANNEE 1891
FORMAT 14 CM X 22 CM
4 PAGES DU FORMAT CI-DESSUS
PAGES 1 2 ET 3 ECRITES
PAGE 4 PAS DE TEXTE
DOCUMENT EN BONNE CONDITION ET TRES FRAIS
ENTETE CONSUL GENERAL DE France LEIPZIG
LEIPZIG LE 7 juillet 1891
TRES ETONNANTE LETTRE SUR UN CITOYEN FRANÇAIS DECEDE A LEIPZIG ET DONT LA FAMILLE A RECLAME LE CORPS
EXPLIQUE LES FORMALITES EN LIAISON AVEC MONSIEUR LE COMMISSAIRE SPECIAL DES CHEMINS DE FERS CHARGE DE SUIVRE LE RETOUR DE LA DEPOUILlE EN France A LA DEMANDE DES PARENTS A ANGERS.
LE DOCUMENT DONNE LES NOM ET PRENOMS DE LA PERSONNE DECEDE
EMOUVANT DOCUMENT ECRIT AVEC BEAUCOUP DE SENSIBILITE ET DE DELICATESSE VIS-A-VIS DE LA PERSONNE DECEDEE ET DE SES PARENTS
AVEC SIGNATURE MANUSCRITE COMPLETE
« Auguste Jacquot
Consul Général de France »
VOIR SCANS
VOIR HISTORIQUE EN FIN DE DESCRIPTION
HISTORIQUE
ATTENTION LES PHOTOS NE SONT PAS AUTORISEES DANS LA PARTIE DOCUMENTATION/ DESCRIPTION / VOIR LES PHOTOS DIRECTEMENT SUR LE SITE INDIQUE
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SOURCES
GALLICA
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k528050d/texteBrut
Titre : Le Gaulois : littéraire et politique
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1892-07-22
T0UT-PARI3
L'incident Jacquot
On nous ecrit de Leipzig
Il a été donné, ces temps derniers, des versions si différentes de l'incident dont a été victime, pendant la nuit du 5 au 6 de ce mois, M. Jacquot, consul général de France à Leipzig, qu'il me paraît convenable de ramener les faits à leurs proportions réelles. Pour le détail do l'incident, je ne saurai que vous prier de vous reporter à l'article qui a paru dans le Journal de Genève du 16 de ce mois, et qui est absolument conforme à la vérité.
Je tiens seulement à faire observer que la cause première de cette déplorable affaire que toutes les personnes connaissant et estimant comme il le mérite M. Jacquot regrettent sincèrement a été l'état d'effervescence où se trouvait ce soir-là le public du café Bauer, lequel se composait principalement dé jeunes gens fort échauCfôs par le Champagne et les doctrines qu'ils venaient d'absorber à la salle Battenberg, où le célèbre antisémite docteur Ahlwardt avait donné une contérence des plus orageuses. Une querelle d'un caractère purement personnel et qui s'est terminée, d'ailleurs, par une poignée de mains entre le consul général do France et un journaliste, qui lui avait pris sa place, a été l'étincelle qui a mis le feu aux poudres.
Quant à M. Jacquot, son attitude a été des plus correctes, et il causait tranquillement avec les deux messieurs qui l'accompa gnaient, lorsque tous trois ont été provoqués parleur voisin de table.
M. Jacquot, qui jouit ici de l'estime générale, n'a même pas daigné répondre aux attaques dont il a été l'objet dans certains journaux, et ceux-ci en ont profité pour aller jusqu'à insinuer qu9 les employés du consulat général auraient déposé contre leur chef. Ce n'est là qu'une inexactitude de plus. Je sais, de source certaine, que le personnel du consulat s'est refusé comme c'était son devoir à faire à la police des dépositions quelconques; il s'est borné, avec l'autorisation de son chef, à rectifier verbalement un rapport qu'avait dressé, par excès de zèle, un agent de police subalterne.
Un bourgeois de Leipzig, ami de
la vérité et témoin oculaire de ce
qui s'est passé.
VOIR AUSSI
CULTURE GOUV. FR
Cote F/21/7659
Analyse Album de photographies des oeuvres achetées par
l'Etat intitulé : "Direction des Beaux-Arts.
Ouvrages commandés ou acquis par le Service
des Beaux-Arts. Salon de 1890. Photographié par
G. Michelez".
Oeuvres exposées au salon annuel organisé par la
Société nationale des Beaux-Arts, au Palais des
Beaux-Arts du Champ de Mars, du 15 mai au
30 juin 1890.
Tirage photographique sur papier albuminé
représentant :
- "La conférence ouvrière de Berlin, 15-29 mars
1890 ; La délégation française", plaquette, plâtre
par Séraphin Emile Vernier, No 1303, intitulée
dans le catalogue "Conférence internationale de Berlin; délégation française".
Sur cette plaquette intitulée "Conférence
internationale ouvrière de Berlin, 15-29 mars 1
890 Délégation française" sont sculptés deux
rangées de portraits :
au premier rang, assis, de gauche à droite, nous
avons les portraits de profil de Jules Simon (de l'Académie française, sénateur), Linder (inspecteur général des mines) ,Tolain (ciseleur, sénateur de la Seine), Burdeau (agrégé de philosophie, député du Rhône), et Delahaye (ouvrier
mécanicien);
au deuxième rang, de gauche à droite, debout,
nous avons les portraits de Pelle (ingénieur des
mines), Lebon (secrétaire de la délégation),
Jacquot (consul à Leipzig), et Laporte (inspecteur
du travail dans l'industrie).
Dates document 1890
Noms de lieux France; Berlin (Allemagne) ; Allemagne; Paris
(France) -- Palais des Beaux-Arts
(Champ de Mars) -- Lieu d'exposition
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